Si votre entreprise ou vous-même êtes sur LinkedIn et vous souhaitez publier du contenu, voici quelques petites explications.
Si vous vous lancez dans la publication sur LinkedIn, sachez qu’il y a 3 types de publications, les nouvelles, les photos et les articles ou posts.
• Les nouvelles et les photos •
Les premières sont des brèves, un lien vers un article de votre blog, une illustration que vous chargez depuis la page d’accueil en cliquant sur « partager une nouvelle / télécharger une photo » et qui ne seront accessibles qu’à vos contacts (et aux leurs s’ils réagissent à votre contenu). Les nouvelles et les photos sont pour moi dans la même catégorie dans le sens que les 2 sont des actions rapides, plus spontanées que les articles.
• Les articles ou posts •
Les deuxièmes sont des articles plus complets qui expliquent un sujet, répondent à une problématique ou analysent une actualité et seront visibles par tous les membres de LinkedIn. Pour rédiger un article il suffit de cliquer sur « publier un post », à côté de « partager une nouvelle », ou, lorsque vous êtes sur Pulse, en haut à droite, sur « publier un article ».
► La portée n’est donc pas la même. Les nouvelles permettent une publication et un contact réguliers avec votre réseau de relations car elles sont courtes et contiennent souvent un call to action comme un lien vers votre site par exemple. Vous pouvez aussi repartager un article qui vous a plu.
Les articles sont plus longs et plus complets et sont publiés bien moins souvent. Ils vous servent à mettre en valeur vos connaissances et votre expertise auprès de vos relations mais aussi de ceux qui ne vous connaissent pas : idéal pour agrandir son réseau.
Enfin, vous pouvez également publier sous forme de commentaire en répondant à des articles ou des sujets dans les groupes de LinkedIn. Mais attention à rester professionnel lorsque vous exprimez votre opinion, cela pourrait nuire à votre réputation ou à celle de votre entreprise!
Aujourd’hui nous allons parler un peu « hardware », c’est à dire matériel, car Google a annoncé que son premier téléphone devrait être disponible en 2017. Et pas n’importe quel genre de téléphone : un smartphone modulable.
Dès 2008, une entreprise israélienne lance l’idée d’un téléphone avec des composants modulables, qui laisserait donc une grande liberté aux utilisateurs.
Le principe est simple : le téléphone serait composé d’une sorte d’exosquelette comprenant uniquement le strict nécessaire, et le reste serait fourni sous la forme des petits composants rectangulaires que l’on voit sur la première photo; leur format est bien sûr normalisé afin de les rendre facilement interchangeables.
Google a donc décidé de se lancer dans l’aventure avec son Projet Ara qu’il prévoit donc de sortir en 2017, pour les développeurs au moins. Annoncé à un prix allant de 400 à 800$, ce téléphone a néanmoins vu son concept de base changer : parlant au début de modularité complète, Google vise aujourd’hui une modularité réduite où les composants de base indispensables sont inclus.
Screenshot depuis le site officiel atap.google.com/ara/
Cette décision a été motivée par les sondages effectués par Google qui fait ressortir que la plupart de leurs clients se moquent d’avoir le choix de changer de processeur comme ils veulent. Google estime aussi qu’en incluant les composants de base, cela laisse plus de place pour ajouter des composants plus originaux, plus innovants (car le nombre d’emplacement disponible est assez limité avec 6 slots).
Ce dernier point, bien que provoquant probablement pas mal de déception chez ceux qui aiment bidouiller leur téléphone, semble plutôt pertinent pour toucher un public plus large.
Petit point technique: les systèmes de connexion entre les modules ont été conçu à partir d’un alliage à mémoire de forme (oui, comme les matelas) qui permet de gérer les connexions et déconnexions depuis le téléphone avec le logiciel, et non pas physiquement avec des systèmes de clips etc.
Ce qui permet également de contrôler tous les composants qu’on peut mettre sur Ara: en effet Google seul possédera le code utilisé pour les connexion et compte s’en servir pour limiter un marché gris voire noir de modules, et ainsi chaque module devra être approuvé pour être mis à disposition des utilisateurs.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez consulter le site officiel de Google ou ces 2 catégories sur Reddit r/ProjectAra et r/aramasterrace pour un avis plus tourné vers les utilisateurs (par contre ces sites sont tous en anglais) .
• Alternative •
Il existe entre autre un autre smartphone modulable, Fairphone, qui lui insiste sur le fait d’être socialement responsable et transparent, en traçant les matériaux utilisés pour privilégier des sites d’extraction qui soutiennent l’économie locale, et en mettant en place des évaluations de la situation des salariés en collaboration avec les usines de leur chaîne de production.
Screenshot du site officiel, fairphone.com
L’accent est également mis sur la réparation facilitée et donc sur la durée de vie de l’appareil : on est a priori à l’opposé des problèmes d’obsolescence programmée.
Cette initiative unique est particulièrement intéressante car il est très dur dans le milieu du hardware de pouvoir garantir le respect des gens de la chaîne de production ou de l’environnement.
Tournant sous Android Lollipop 5.1, le Fairphone 2 est vendu à 525€.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter leur site officiel en français qui est détaillé, ou regarder sur Reddit (en anglais).
► L’avènement du téléphone modulable de Google sera peut-être l’opportunité pour Fairphone de faire parler de lui, ou au contraire de devenir complètement invisible du grand public à cause de l’ombre du géant de l’informatique.
Vous avez ou allez avoir un site internet: voici 6 conseils pour construire votre stratégie de référencement naturel.
Ici nous parlons d’une stratégie, qui doit être construite en pensant aux différentes étapes à suivre.
Cela commence évidemment par choisir et identifier qui vous voulez toucher, le public visé, puis définir les objectifs que vous voulez atteindre.
A la suite de quoi vous devrez produire du contenu adapté contenant les bons mot-clés, et suivre puis analyser la réaction de vos visiteurs pour faire les ajustements nécessaires, et c’est sur cela que nous allons insister.
► Mots clés
Les mots clés constituent les termes autour desquels vous voulez être reconnus, recherchés et référencés : il faut donc commencer par cette étape qui définira les axes de communication de votre site et votre contenu (point suivant).
Pour commencer, cherchez à vous mettre à la place de quelqu’un au hasard qui taperait une recherche sur Google pour trouver ce qu’il cherche. Imaginez tout ce qu’il pourrait écrire, chercher, comment il le formulerait, les points précis et toutes les variantes : en associant par exemple un nom de ville, une zone géographique, et aussi en traduisant en plusieurs langues, en testant plusieurs orthographes…
Cette démarche basée sur votre intuition et propre expérience est le point de départ de votre stratégie.
Il vous faut ensuite effectuer une démarche plus mécanique, à savoir analyser les mots clés en fonction de leur popularité, de la valeur ajoutée qu’ils apportent, et surtout ne pas oublier d’analyser ceux utilisés par vos concurrents!
Vous avez à votre disposition de nombreux outils vous aidant à compléter vos mots clés en complétant votre champ lexical, ou en proposant toutes les variantes d’orthographe et traduction, selon leur fréquence d’utilisation, comme par exemple Keyword Eye.
► Le contenu
Le contenu est primordial pour avoir un bon référencement, et doit refléter un juste milieu entre la qualité et la quantité.
Comme nous le disions dans cet article, si votre contenu n’est pas d’assez bonne qualité, votre référencement en pâtira, or regardez la courbe suivante :
Par NetBooster, dans leur rapport “One Click Curve To Rule Them All” d’octobre 2014
On voit très clairement qu’un mauvais positionnement dans la liste des résultats des moteurs de recherche vous fait perdre tout votre trafic rapidement.
Il est donc indispensable de produire du contenu qualitatif, en accord avec les attentes de vos visiteurs et adapté à vos mots clés.
► Mesurez votre efficacité et ROI
L’efficacité de votre référencement se mesure à votre position dans les résultats de recherche de vos clients.
Il est à noter que ce genre de stratégie n’offre pas un retour sur investissement immédiat, c’est une stratégie de long terme véritablement, et vous obtiendrez des résultats environ une année après la mise en place de cette stratégie. Il faut donc être patient !
Pour analyse vos résultats, vous pouvez vous servir de Google Analytics, et comparer vos résultats régulièrement avec ceux que vous aviez avant de mettre cette stratégie en place, notamment en comparant le nombre de visiteurs par mois et le nombre de visiteurs uniques, le taux de rebond, l’origine de vos visiteurs (depuis quel site sont-ils venus) ainsi que les mots clés qu’ils ont tapé.
Wikipédia le définit ainsi : » le taux de rebond (bounce rate en anglais) est un outil marketing qui permet de mesurer le pourcentage d’internautes qui sont entrés sur une page Web et qui ont quitté le site après, sans consulter d’autres pages. Ils n’ont donc vu qu’une seule page du site », et c’est un paramètre très important de votre site qu’il faut prendre le temps d’analyser. Plus ce pourcentage est haut, moins c’est bon, car votre but à vous est dans un premier temps d’attirer le visiteur sur votre site mais ensuite de le garder le plus longtemps possible.
Attention néanmoins, il y a des exceptions : une page contenant les horaires d’ouvertures, le programme tv de ce soir, un dictionnaire … aura tendance à avoir un rebond fort car le visiteur cherchait une information très précise, ne suscitant pas forcément beaucoup de curiosité (même si beaucoup de sites de programmes tv par exemple proposent maintenant des interviews, des articles…). En fait le taux de rebond optimal dépend du type de page et de son contenu.
Voici quelques points à étudier pour baisser son taux de rebond.
• To be or not to be responsive
La bonne réponse est to be! Soyez responsive, c’est à dire qui s’adapte à toutes les tailles d’écrans et à tous les types d’appareils, téléphones, tablettes, ordinateurs. C’est aujourd’hui une quasi obligation pour avoir un bon référencement sur Google, et ce n’est pour rien:
par We Are Social, 2015
En moyenne (global average, la barre blanche du graphique) 33% des internautes consultent Internet depuis leur téléphone.
Un site mal adapté est non seulement peu agréable, mais en plus peut avoir des dysfonctionnements empêchant le client de naviguer correctement.
Cela peut paraître évident, mais très régulièrement je tombe sur des sites de grandes marques qui ne sont pas du tout adaptés, et qui sont parfois carrément inutilisables.
• Optimisez vos temps de chargement et votre contenu
Les deux sont liés: votre contenu doit être optimisé sur le fond, c’est à dire être intéressant, original et pertinent (lisez ici nos articles sur le contenu), mais aussi sur la forme. En effet, les visiteurs attendront rarement plus de 2 ou 3 secondes de chargement avant d’abandonner et de changer de page… On s’habitue à la grande vitesse!
Vos temps de chargement seront optimisés si vous évitez par exemple de surcharger vos pages avec des grosses photos très volumineuses, et que vous utilisez les données mises en cache. Hellomarketing explique très bien les 2 façons de mettre des données en cache:
« • La mise en cache serveur d’une page web est utilisée afin de réduire la consommation de bande passante, la charge du serveur web (les tâches qu’il effectue), ou améliorer la rapidité de consultation lors de l’utilisation d’un navigateur web.
Un cache Web conserve des copies de documents transitant par son biais. Le cache peut, dans certaines conditions, répondre aux requêtes ultérieures à partir de ses copies, sans recourir au serveur Web d’origine.
• La cache navigateur peut accélérer considérablement le chargement des pages pour les internautes qui visitent plusieurs pages de votre site. En effet, tous les fichiers statiques tels que les feuilles de style et les fichiers JavaScript peuvent être mis en cache par le navigateur. Ce qui permet le visionnement d’une deuxième page beaucoup plus rapidement. »
De plus, il est à noter que l’utilisation d’un CMS peut ralentir votre site s’il n’est pas combiné à un hébergement de qualité et un serveur suffisamment puissant.
• Trop de pub nuit à la santé de votre site
Les publicités ne ralentiront pas votre site, par contre elles peuvent décourager votre visiteur!
Il ne faut donc pas en abuser: les pubs doivent rester sur le côté et ne surtout pas gêner la navigation. Je vous déconseille également l’utilisation de pubs faisant du son, ou ouvrant un nouvel onglet toute seule… C’est très agaçant et ne donne pas du tout envie de rester sur le site.
• Appel à l’action
Les CTA, call to action, sont une part très importante de votre stratégie web! Comme on le disait dans cet article, un appel à l’action permet de faire rester votre visiteur sur votre site en lui proposant des options. Cela peut être des produits complémentaires si c’est un site e-commerce, ou des articles traitant du même sujet si c’est plutôt un blog. La pertinence de vos propositions est indispensable.
Voilà quelques astuces à tester pour améliorer votre taux de rebond!