Technologie : Comprendre le Big Data

Le Big Data : Qu’est-ce que c’est?

Le Big Data, aussi connu sous le nom de mégadonnées, désigne l’ensemble des données numériques produites par l’utilisation des nouvelles technologies à des fins personnelles ou professionnelles. L’expression Big Data commence en 1997 avec l’Association for computing machinery. En 2001, Doug Laney décrit les Big Data d’après les « trois V »

– volume (quantité de donnée)

– variété (type de données récoltée : image, vidéo, adresse…)

– vélocité (fréquence à laquelle les données sont générées)

L’exploitation du Big Data a ouvert de nouvelles perspectives dans de nombreux domaines : science, commerce, finance… Grâce à des outils analytiques, les utilisateurs du Big Data (entreprise, chercheurs…) peuvent faire des analyses prédictives afin de prédire des pannes par exemple. Le marché du Big Data est un marché en croissance estimé à plusieurs milliards de dollars.

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Big Data et entreprises

L’usage du Big Data en entreprise répond à plusieurs objectifs comme l’amélioration du service client, l’optimisation des processus ou la performance opérationnelle. Toutes entreprises a, aujourd’hui, avantage à tirer partie du Big Data. Cette technologie représente un enjeux commercial conséquent car à partir du Big Data, il devient possible de prédire des comportements d’achats. C’est comme ça que certaines entreprises comme Amazon peuvent vous proposer une liste de produit susceptible de vous plaire. Le stockage et l’analyse de toutes leurs données récoltées vont leur permettre de savoir si un client avec vos profils (historique) d’achats sera intéressé par tel ou tel produit en fonction des choix effectués par des utilisateurs ayant le même profil d’achat que vous.

Un marché entier s’est développé autour du Big Data. Certaines entreprises ce sont spécialisées dans la collecte de données afin de pouvoir les revendre à d’autres entreprises. Par exemple : Niantic a réussi un coup de maître avec l’application Pokemon Go. Grâce à celle-ci, vous êtes localisé où que vous soyez. Votre adresse mail, nom, prénom, liste de contact, tout est collecté, stocké puis revendu à d’autres entreprises.

Un business très juteux pour celui qui sait en tirer parti.

les Progressives Web App: un saut en avant pour les Web App

la Progressive Web App est à mi-chemin entre une Web App Classique et une application Mobile (Native et hybride). Elle prend le meilleur des deux pour donner un résultat très intéressant.

En effet, la Progressive Web App est conçu comme une application mobile native afin d’être très intuitive et facile d’utilisation, avec un Design ergonomique et responsive (application hybride), le tout sur une page Web.

La « révolution » de la Progressive Web App est que celle-ci va pouvoir fonctionner sans connexion internet grâce au Service Worker, chose qui était impossible pour les applications hybrides et Web App classique. A cela s’ajoute une rapidité équivalente aux applications natives, les notifications Push et la possibilité d’installer l’application web sur  sur votre écran d’accueil de smartphone.

On peut clairement trouver une opportunité pour qui veut développer un projet digital mais qui hésite entre une Web App et une application native. La Progressive Web App propose des fonctionnalités que l’on recherche sur les applications natives mais aussi des fonctionnalités présente sur les Web App.

Affaire à suivre…

 

Astuce cahier des charges application web ou mobile

Jouez avec les priorités

C’est une première étape classique de classer les fonctionnalités par grands groupes. En complément, une approche par priorité à l’étape cahier des charges est très intéressante. L’idée est de définir un certain nombre de priorité dans le temps et d’obtenir une vue « temporelle » du projet.

Cela va vous permettre de fixer des jalons dans le temps et de mettre en production plusieurs versions améliorées. Cela va aussi permettre à votre prestataire de découper des lots et de gérer plus finement le budget.

owl-conseils

Voici un exemple de classement en 3 priorités que je trouve très intéressant :

a- Le groupe des fonctionnalités minimum pour démarrer le projet. Ce sont les fonctionnalités vitales sans lesquels le projet ne sert à rien.

b- Le groupe des fonctionnalités substantielles pour que le produit soit adapté au marché. Pour qu’il soit équivalent ou meilleur que la concurrence par exemple.

c- Le groupe des fonctionnalités annexes qui sont plus du domaine du confort, du gadget, des automatisations, etc.

La tentation est forte de tout mettre dans les groupes a et b. Pour éviter ce piège, on pourra se poser les questions suivantes :

« sans cette fonctionnalité est-ce que mon projet fonctionne ? »

– si non = a
– si oui = b ou c

« avec cette fonctionnalité est-ce que mon projet va se développer  ? »
– si non = c
– si oui = b

15 points clefs pour réussir votre site internet

Voici les 15 points clefs les plus importants pour réussir son projet de site internet.

1 – Intégrer le projet web dans la stratégie de l’entreprise
2 – Définir une cible et des objectifs
3 – Rédiger un cahier des charges
4 – Anticiper et prévoir un planning et des jalons
5 – Trier les fonctionnalités : les trois listes
6 – Choisir “le” prestataire
7 – Définir la qualité
8 – Ne pas négliger le contenu
9 – Travailler le webdesign
10 – Savoir modifier le cahier des charges…
11 – Choisir les bons outils : les technologies
12 – Utiliser une méthodologie
13 – Laisser le projet prendre vie
14 – Définir les actions de promotion : le Marketing de votre site
15 – Faire attention à l’hébergement

Vous trouverez gratuitement le détail de ces 15 points dans ce livre blanc à télécharger ici : Télécharger le livre blanc – 15 règles d’or pour réussir son projet de site Internet