Votre webtv avec RZO TV

190: c’est le nombre moyen de vidéos que regarde un Français par mois. Saisissez cette opportunité pour votre  entreprise!
RZO.tv
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La vidéo est un moyen de communication qui prend de l’ampleur, grâce notamment  à la proportion grandissante d’utilisateurs équipés d’au moins un objet connecté pouvant les lire.
Aujourd’hui, Youtube est par exemple le 2ème moteur de recherche aux Etats-Unis, et le nombre de vidéos regardées par mois par personne ne fait qu’augmenter.

Quel est l’intérêt de la vidéo dans votre stratégie d’entreprise?

Ce média de communication a l’avantage d’être simple, attirant et bien sûr très visuel: vous captez l’attention de vos clients en leur offrant du contenu intéressant, qui touche aux 2 sens les plus importants dans l’apprentissage et la mémorisation, l’ouïe et la vision. C’est donc un moyen efficace pour marquer l’esprit de vos visiteurs et les engager.
En plus, en laissant le choix à l’utilisateur de regarder la vidéo qui lui plait, plusieurs types de contenus (tutoriels, interviews …), ainsi que les suggestions de vidéos adaptées, vous vous inscrivez dans une stratégie de personnalisation qui est aujourd’hui la clé pour proposer la bonne offre, au bon moment, à la bonne personne.

RZO office

RZO TV à Meylan s’est spécialisé dans la création de plateformes de diffusion vidéo pour les professionnels et offre des solutions en adéquation avec ces tendances. RZO propose notamment des services de diffusion live pour diffuser en direct vos événements, avec la possibilité d’interagir avec vos spectateurs en direct grâce à un chat, ainsi que de la VOD sans publicité (Video On Demand, à la demande) facilement intégrable à tous vos sites et réseaux sociaux, et plateforme de e-learning pour la formation.
Visitez les sites MaTVimmo ou encore celui de credit.fr pour vous faire une idée!

Ces services offrent l’avantage d’une communication cross-platform  et SEO friendly en permettant à vos vidéos d’être accessibles et lisibles depuis n’importe quel outil et navigateur, tout en étant toujours facile à intégrer et partager, et reposent sur une architecture solide permettant d’accueillir plus de 10 000 utilisateurs simultanément. 

Faites le pari de la vidéo pour votre entreprise!

5 astuces pour utiliser les hashtags dans sa stratégie d’entreprise

Mettre des mots-clés n’est pas vraiment un phénomène nouveau à l’ère du digital. Peut-on imaginer un monde sans mot-dièse (traduction officielle de hashtag) ?

Librement traduit de l’article d’Elysia Raphael, accessible ici en anglais

Hashtag_kreatys

Inspiré des tags comme on pouvait en trouver sur Flickr vers 2009, le hashtag fut inventé pour fournir des meta données sur les tweets.
Bien qu’étant originellement réservé à Twitter, l’usage s’est propagé rapidement aux autres réseaux sociaux pour devenir un phénomène à part entière.

Créé à l’origine pour rendre des conversations, sujets, « découvrables » par d’autres utilisateurs, son utilisation va aujourd’hui bien au delà de la simple catégorisation de contenu.
Aujourd’hui les hashtags sont également porteurs d’émotions, ajoutent du contexte à l’image ou déclaration qu’ils accompagnent.
Inévitables, ils font partie de la culture moderne et on les trouve même en dehors du royaume des réseaux sociaux où ils condensent une idée, une émotion en concept que l’on peut partager. Leur courbe de popularité est parallèle à celle d’Instagram, qui ne fait que monter depuis ses débuts il y a 5 ans.

Instagram a dépassé les 400 millions d’utilisateurs mensuels actifs, soit autant qui postent leur selfies, photos, se demandant s’ils vont utiliser #nofilter (« pas de filtre photo »), ajuster la luminosité ou modifier la saturation de l’image. Avec l’augmentation des likes et commentaires automatisés (par des robots), il est de plus en plus dur pour les utilisateurs de différencier les vrais fans de ceux qui sont sur le site juste pour s’auto-promouvoir.
Une rapide analyse sur Instagram, sur un profil récent sans abonnés, a montré sur certains hashtags comme #diet et #cleaneating (respectivement régime et alimentation saine) attirent les likes générés automatiquement de coachs personnels et salles de gym. Dans plus de 85% des cas, ces comptes étaient des entreprises cherchant à promouvoir leur propres produits.

Mais une entreprise souhaitant utiliser les hashtags pour les incorporer dans leur stratégie marketing peut-elle se contenter de faire comme les utilisateurs lambda?

La réponse est – absolument pas!

Il faut absolument vous demander d’abord « comment mon entreprise et ma stratégie marketing générale vont-elles bénéficier de cet outil? Est-ce que mon public cible me trouve en tapant ces hashtags, et est-ce qu’il me cherche vraiment avec les hashtags « #wow » « #love » alors que mon entreprise fait du vin bio? » et ne pas vous contenter de mettre une liste de hashtags génériques.
Il y a plus de 400 millions de gens dans le monde entier qui se connectent à Instagram par mois, et plus de 300 millions pour Twitter. Ce n’est donc pas négligeable…

Maintenant qu’on en sait un peu plus sur ces mots-dièse, voyons quelques règles de base pour être sûr(e)s que votre prochaine campagne sur Twitter, Instagram et Facebook soit un succès. #gagnant

1 • Informatif > abstrait. Un hashtag comme #CommeUneFille  (lancé par Always pour donner confiance aux femmes) ou #LoveWins (« l’amour gagne », utilisé aux US pour la légalisation du mariage homosexuel) par exemple aura beaucoup plus de succès qu’un plus abstrait comme le #wtff de Burger King (what the French fry, détournement de l’expression anglais « wtf » avec French fry, signifiant « frite »)

2 • Gardez un peu de votre immaturité. Et oui, cela vous permet de vous rendre compte que certains hashtags peuvent être facilement détourner (comme le #yourmum, soit #tamère, d’une librairie anglaise…)

3 • Toujours avoir un plan B. Régulièrement, des campagnes sont détournés par les usagers pour exprimer leur mécontentement envers l’entreprise: à New-York un poste de police encourageait les gens de son quartier à s’exprimer et connu un déferlement de tweets sur la violence policière, ou encore cette compagnie de taxis australiens qui eu des réponses telles que « le chauffeur a fait un gros détour pour me faire payer plus… Ce sera Uber pour mes prochains trajets », ce qui n’était probablement pas l’effet voulu.

4 • Suivez les tendances, si elles sont pertinentes. Kia, Lego et McDonald’s ont très bien géré celle de la robe, blanche et dorée ou bleue et noire?

La robe
La robe
La robe, #theDress, par campaignlive.co.uk
La robe, #theDress, par campaignlive.co.uk

5 • Par contre, attention à ne pas pirater un hashtag non pertinent, ou manquant de créativité et de sensibilité. Quelques recherches auraient permis au chargé de communication de DiGiorno Pizza d’éviter de promouvoir leur pizzas avec le hashtag « WhyIstayed » soit « pourquoiJeSuisResté » qui avait été lancé pour parler de la violence domestique…

6 • Restez simples. N’en faites pas trop : trop de hashtags diluerait votre message, et serait associé à du spam.

7 • Posez-vous encore et encore la question de savoir si votre public va effectivement vous trouver avec des hashtags génériques comme #miam, ou est-ce que seulement les robots vont automatiquement liker mon message? Et est-ce que ça a vraiment de l’intérêt d’avoir beaucoup de likes qui sont en majorité dus à ces robots?

Souvenez-vous que les hashtags ont été créés pour être découvrable, partageable et localisables.
Maintenant que vous savez tout ça, vous êtes prêt(e) pour créer la #campagneMarketing la plus porteuse de succès à ce jour!

Librement traduit de l’article d’Elysia Raphael, accessible ici en anglais

 

Les noms de domaine, c’est une affaire sérieuse

Tesla, vous connaissez? Non, pas l’ingénieur, mais l’entreprise de voitures de luxe électriques!
Tesla Model S
Tesla Model S

Cette entreprise américaine de Californie a enfin réussi à acheter tesla.com, qu’elle convoitait depuis longtemps: en effet, en 1992 le nom de domaine fut acheté par quelqu’un voulant y installer un site  dédié à Nicolas Tesla, le célèbre ingénieur électricien, et jusqu’à ce 19 février l’entreprise dut se contenter de teslamotors.com .
Mais le propriétaire du nom de domaine, Stu Grossman, a annoncé avoir cédé le nom à Tesla Motors, ce à quoi le PDG de Tesla, Elon Musk, a répondu sur son compte Twitter «que cela signifiait beaucoup pour nous, nous en prendrons grand soin».
Le gros avantage de ce nom pour Tesla? Sans la dénomination « motors », il permet de regrouper toutes les catégories de produits commercialisés par Tesla (chargeurs de batteries, collections de vêtements…)  de manière bien plus pertinente et logique.

Bref, les affaires concernant les noms de domaines sont de plus en plus courantes: on se souvient par exemple de cet homme qui, en octobre dernier, avait racheté google.com pendant 1 minute. Bon joueur, Google décida de récompenser l’acheteur pour le remercier d’avoir attirer leur attention sur cette faille de sécurité, en lui offrant 12000$ dont la moitié fut reversée à une association caritative indienne.
Cela peut prendre également une dimension bien plus stratégique, et les hommes politiques ne sont pas épargnés dans ces cas-là: si vous suivez les élections présidentielles aux USA, vous avez peut-être entendu parler du nom jebbush.com qui fut acheté par des partisans de Donald Trump pour rediriger les visiteurs vers le site de Trump, car l’équipe de Bush n’avait même pas pensé à acheter ce nom…! (ça a été arrangé depuis)

"voilà ce qui arrive si on ne réfléchit pas assez à sa stratégie digitale!!"
« voilà ce qui arrive quand on ne réfléchit pas assez à sa stratégie digitale!! » s’exclama t-il en pointant son rival du doigt.

Certains en font un vrai business, comme ce Français expatrié en Thaïlande spéculant sur les noms de domaines: il rachète des noms de domaine ayant déjà servi, donc déjà référencés par Google, puis accroît encore leur popularité et classement avant de les revendre.
Bien que plus hasardeuse, il existe aussi la technique qui consiste à acheter des noms inutilisés, mais dont on estime que quelqu’un voudra l’acheter (cher si possible: déjà en 1999, business.com fut ainsi racheté pour 7,5 millions de dollars…).
Le nom de domaine peut en effet faire partie à part entière de la stratégie digitale comme on l’a vu avec Tesla. D’autres comptent sur des noms très évocateurs comme par exemple commentçamarche.comcreation-site-internet-sur-mesure.com, ou encore jouent avec l’extension tel que about.me pour donner un ensemble simple à retenir mais marquant.

Mais il y a aussi des pratiques moins bon enfant: certains logiciels permettent de surveiller les noms de domaines qui arrivent à expiration (date anniversaire chaque année). Ceux qui se spécialisent dans ce genre de pratiques analysent ceux qui leur paraissent les plus prometteurs, et sont prévenus à la seconde même où le domaine redevient disponible, puis le réservent.

Qu’en font-ils ensuite?

► Cela dépend. Certains y installent des pages contenant de la publicité, et profitent ainsi de la réputation de votre site et de son référencement (s’il était bien référencé) pour gagner de l’argent.
D’autres préfèrent rediriger vos visiteurs vers un site qui propose à peu près la même chose que le votre: une fois de plus, ils veulent tout simplement profiter de votre référencement, car obtenir un site bien classé dans les résultats Google prend énormément de temps.
Enfin les derniers, eux, préfèrent exercer une sorte de racket: ils vous contactent pour vous revendre votre nom de domaine. Bien évidemment, pas la peine de préciser que le prix n’est plus celui auquel vous l’aviez payé la première fois… Mais cela revient souvent moins cher quand même que devoir refaire un site, son référencement et prévenir tous les concernés que vous avez changé de site. Cette technique peut être appelée cyber-squattage, définie ainsi par Wikipédia  » une pratique consistant à enregistrer un nom de domaine correspondant à une marque, avec l’intention de le revendre ensuite à l’ayant droit, d’altérer sa visibilité ou de profiter de sa notoriété », considérée dans certaines juridictions comme de l’extorsion ou du parasitisme.

"Haha! Je viens de réserver le nom de ton entreprise dans toutes les extensions de domaine!" (crucial.com.au)
« Haha! Je viens de réserver le nom de ton entreprise dans toutes les extensions de domaine! » (crucial.com.au)

Ces problèmes là ne touchent donc pas que les grands noms, tout le monde peut en être victimes: il ne faut pas oublier qu’un nom de domaine n’est jamais acheté mais seulement loué!
Pour se protéger, la seule solution est donc de ne jamais laisser son nom de domaine disponible en payant chaque année son hébergeur à temps.