4 raisons de faire de l’Inbound Marketing

L’inbound marketing (marketing entrant) consiste à mettre à disposition, sur internet, des contenus intéressants afin d’attirer une audience et des clients potentiels. Pourquoi faire cela ? Voici 4 raisons :

  • Avant de prendre une décision, un internaute collecte beaucoup d’informations sur le produit ou la société. Cela passe par le site internet mais aussi par les réseaux sociaux et les sites d’information, les blogs, etc.
  • Afficher votre expertise afin de rassurer vos clients ou les acheteurs. C’est encore plus vrai en B2B.
  • Faire des économies : l’inbound marketing coûte bien moins cher que d’autres actions.
  • L’inbound marketing sur internet est facilement mesurable. Les tracker de statistiques permettent de voir ce qui fonctionne ou pas.

Quels sont les meilleurs outils pour mettre en place une stratégie d’inbound marketing ?

  • Un plan stratégique et une cible bien définis
  • Un site internet avec du contenu
  • Un blog avec des articles connexes à votre activité et votre cible alimenté régulièrement (au moins une fois par mois)
  • Une newsletter
  • Des comptes sur les bons réseaux sociaux avec reprise régulière de vos articles de blog
  • Un ou des livres blancs pour montrer votre savoir faire

C’est tout ! A vous de jouer.

 

[infographie] Les sites web font vendre et pas qu’en ligne !

 

70% des visiteurs d’une enseigne visitent le site web de l’entreprise. (source FullSix Data (ROPO2) ). La présence numérique fait vendre en magasin. Le magasin fait vendre en ligne.

Cliquez sur l’image pour voir le détail.

 

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Spécial Start-up 3 : astuces pour créer un site internet sur-mesure avec un petit budget

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Le site internet est le cœur d’une stratégie digitale. C’est le seul endroit où l’on trouvera du contenu fiable et pérenne sur votre entreprise. Il est la source du contenu de tout le marketing digital. Voici quelques conseils pour réduire son budget de création.

L’idée est simple : il faut répondre à l’équation suivante : un prestataire qui sait où il va = un prestataire moins cher car il prends moins de risques. Vous pourrez négocier des prix plus bas avec lui.

En tant que prestataire lorsque j’ai en face de moi un projet bien ficelé je peux quantifier ma prise de risque. J’ai donc des marges de manœuvre plus grandes en terme de tarifs.

Inversement, si je suis en face d’un projet qui ne semble pas totalement abouti, j’ai deux problèmes à résoudre :

  • ce sera à moi de combler les manques
  • je vais devoir faire face à des bouleversements en cours de route.

Je devrais donc assurer une partie de l’incertitude en temps de développement. Et le temps de développement c’est de l’argent.

Afin d’affiner votre projet vous pouvez lire les articles de ce blog et piocher pleins de bonnes idées. En plus vous pouvez  travailler sur les points suivants :

  • Prendre le projet web au sérieux : cela peut paraître une évidence. Ce n’est pourtant souvent pas le cas.
  • Penser au volet marketing de votre projet. Cela revient à bien définir les cibles et les lignes éditoriales pour les contenus.
  • Penser contenus et penser Blog
  • Bien préparer le contenu. Cela a une implication directement économique sur le rédactionnel et le temps à passer sur le site. Le prestataire sera rassuré et prévoira une marge impondérable plus faible.
  • Penser points forts et penser essentiel = moins de contenus et plus de pertinence = économies de temps
  • Planifier au plus tôt votre budget : l’intégrer dans votre business plan et sa partie financière vous permettra d’avoir une vision marketing et financière dès de départ. Cela vous permettra d’éviter les mauvaises surprises aussi.
  • Penser par étapes : découper par étapes importantes = découper le budget aussi.

En supplément :

  • Penser à long terme : un site internet dure en moyenne trois ans et il est préférable d’opter pour une solution permettant de le remettre au goût du jour à moindre frais.

 

 

Spécial startup 2 : Comparaison framework CMS, éclairage technique d’un choix obligatoire

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En tant qu’entrepreneur ou responsable d’un projet web vous allez être confronté à ce choix. Cela se fera peut-être indirectement ou par vos soins mais il sera obligatoirement fait par quelqu’un à un moment donné. Alors autant savoir de quoi il retourne !

Ces deux approches, sans être totalement opposées, procèdent de principes différents : instanciation pour les CMS et utilisation de briques « métier » (application Web) pour les frameworks.

Comparaison entre l’utilisation d’un CMS et d’un framework Web

Avec un CMS

Avec un travail relativement limité (après les phases d’analyse et de spécifications communes à toutes les approches), on peut développer un site assez proche du résultat final avec un CMS. En revanche, des difficultés se présentent quand les fonctionnalités demandées ne sont pas prévues initialement dans le CMS. Bien sûr, les CMS proposent en général des possibilités d’extension via un système de plugins, mais à nouveau il faut que les nouvelles fonctionnalités puissent se développer dans le cadre précis du système de plugins défini : on ne peut (ou on ne doit, pour des problèmes d’évolution et de maintenance) utiliser que ce qui est exposé au développeur.

Nous avons à faire à des solutions génériques et légèrement adaptables. L’avantage principal est la minimisation des développements, au prix d’un carcan.

Avec un framework (cadre de travail)

En choisissant un framework Web, on ne part pas pour autant de zéro (nous considérons par exemple PHP ou Python comme le niveau zéro : pas ou très peu d’objets métiers, limités aux aspects de communication HTTP). Le but d’un tel framework est de fournir des briques métiers au-dessus de ces langages, de mettre en place une architecture aidant à un bon développement (principalement séparation des données et de leur présentation via une architecture Model/View/Controller ou variante) et de fournir des outils pour accélérer le développement comme par exemple la génération automatique des objets métiers à partir d’un schéma de base de données.

Mais l’objectif est de fournir juste ce qu’il faut pour ne pas avoir à réinventer (et réimplémenter !) ce que l’on trouve dans la plupart des applications Web, tout en laissant une souplesse pour pouvoir plus facilement développer des fonctionnalités adaptées.

Performances

Il convient aussi de parler des performances (vitesse). Dans les deux cas, les performances seront moindres qu’un développement (supposé correct) sans aucun outil, CMS ou framework Web. Mais cette performance serait au prix d’un développement long et coûteux, notamment pour garantir un bon niveau de maintenabilité et d’évolutivité.

Les frameworks Web apparaissent ici encore comme un compromis entre langage de programmation et CMS qui seront les moins performants.

CMS : Joomla, Typo 3 ou Typolight, Spip, wordpress

Framework : CakePhp, Symfony, Yii