Comment construire la meilleure landing page: les 4 clés du succès

La landing page, qui désigne la page sur laquelle arrive un internaute après avoir cliqué sur un lien, est un point important de toute stratégie digitale. Comment bien la construire?
Le chemin vers une landing page presque parfaite
Le chemin vers une landing page (presque) parfaite

(traduit de l’anglais, article disponible ici, écrit par Larry Alton)

Bien qu’il n’y ait probablement pas de formule parfaite pour construire une landing page parfaite, il est néanmoins vrai que l’on retrouve des points communs dans toutes les pages qui ont un fort taux de conversion. Si vous voulez que votre landing page soit performante, alors n’oubliez pas d’intégrer les 4 éléments suivants lors de la construction de la page:

1. Des images haute définition

En 2016, l’utilisation de visuels et images en haute définition est devenu indispensable en content marketing (marketing de contenu), Je vous invite à lire ces statistiques (ou celles là en anglais) si vous n’êtes pas convaincus 🙂
Voici un résumé des plus intéressantes:

  • Des recherches ont trouvé que les visuels en couleur augmentent jusqu’à 80% l’envie du lecteur de lire la suite
  • Si on associe une image pertinente avec les informations auditives qu’entendent les utilisateurs, les chances pour qu’ils retiennent l’information pendant au moins 3 jours passent de 10 à 65%
  • Le contenu avec des images pertinentes a jusqu’à 94% de vues en plus que le même contenu sans image
  • Le contenu visuel a 40 fois plus de chances d’être partagé sur les réseaux sociaux que tous les autres types de contenu

 

Comme vous pouvez le voir, avoir des visuels adaptés et des images HD est indispensable pour améliorer votre content marketing et engager votre segment cible. Ça s’applique donc également à votre landing page!

Voyons un exemple: regardez cette landing page de Luxury Estates International. La première chose que vous remarquez sont les images attirantes, vives du diaporama en haut de la page. En voyant ces images, on a tout de suite le sentiment d’être sur une page de haute qualité.

Du coup, une mauvaise landing page serait une page qui notamment manquerait d’images de qualité (quelques exemples ici, même si les images ne sont pas le seul problème). Quand on clique sur ce genre de pages, on ne ressent pas de sentiment de bien-être, une impression générale positive et agréable. Plutôt le contraire en fait, et on se sent parfois même confus, perdu, voire déçu.

La morale de l’histoire? Utilisez des images de grande qualité sur vos landing pages. Haute résolution, originales, attirantes et pertinentes.

2. Un CTA clair et précis.

Dès que vous entendez quelqu’un se plaindre que sa landing page a un mauvais taux de conversion, vous devriez tout de suite lui demander: « quel est votre CTA (Call To Action, appel ou incitation à l’action)? Et l’avez-vous testé? »
Dans la plupart des cas, le CTA a été mis après coup au hasard sur une page, et c’est ça le problème. Le CTA doit au contraire être la raison d’être d’une page, qui doit être construite autour et non le contraire!

Quelques suggestions:

  • Utilisez un vocabulaire d’action. Un appel à action fort utilise toujours un vocabulaire adapté. Dans l’idéal, il faudrait provoquer des réactions rapides, et donc utiliser des phrases familières que les visiteurs reconnaîtront tout de suite. Vous pouvez essayer des mots tels que commencez, arrêtez, augmentez, développez, maintenant, dépêchez-vous, découvrez, économisez, aujourd’hui, cette offre se finit dans…
  • Faites attention à vos visuels. Encore une fois, les visuels sont les éléments les plus importants! Votre appel à action doit être très visible et mis en avant. Dans la plupart des cas, vous pouvez utiliser des boutons colorés et des couleurs contrastées pour faire ressortir votre appel à action.
  • La taille compte! Un des éléments le plus oublié lors de la construction d’une page est la taille, alors que c’est un point très important de la structuration. En fait la clé est d’avoir un appel à action suffisamment gros pour ressortir, mais sans surcharger le lecteur. Il est vrai qu’il n’y a pas de règle universelle concernant la page, c’est particulier à chaque cas, il vous faudra donc faire de nombreux ajustements.
  • N’oubliez pas l’emplacement. Très souvent, les visiteurs parcourent une landing page en suivant un chemin en forme de F ou de Z. Ceci dit, il est généralement conseillé de mettre votre CTA en haut à gauche ou en bas à droite, cela permet d’engager votre utilisateur au tout début ou à la fin de leur parcours de consommation.

Lorsque vous concevrez le design de votre prochaine landing page, mettez cet élément en haut de vos priorités: reléguer pour plus tard est sans aucun doute l’un des meilleurs moyens de ruiner votre landing page.

3. Des témoignages de confiance

Ces témoignages sont un composant indispensable à n’importe quelle stratégie de marketing digital, et plus encore pour des landing pages. « Quand quelqu’un atterrit sur votre landing page, ils ne savent pas si votre offre vaut le coup ou pas: cela vous donne l’opportunité de les impressionner grâce à des témoignages de clients, des tweets qu’on aura intégré à la page et ainsi de suite » a écrit Lindsay Kolowich, chargée de marketing chez Hubspot.
Elle continue en disant « s’ils voient que d’autres gens qui ont profité de cette offre en parlent de manière positive, ils auront tendance à avoir une vision positive également, et sont donc plus enclins à remplir votre formulaire et devenir un lead. »

Du coup, comment utiliser ces témoignages à votre avantage?
Il vous faut regarder les différents types de témoignages que vous possédez: cela peut être des témoignages directs de clients, des citations type livre d’or mais aussi des des études de cas, des certifications ou des statistiques. Chaque page est différente, mais nous vous conseillons d’inclure au moins un type de témoignage sur chaque landing page.

4. Une mise en page et un flow clair

Bien que les points précédents soient indispensables, ils ne suffiront pas pour convertir vos visiteurs si votre site n’a pas une mise en page claire et un flow efficace. De même qu’il y a des formats d’articles de blog plus efficients que d’autres (les listes, les tests de produits, les tutoriels…), les landing pages ne sont pas en reste. Vous vous souvenez qu’on a parlé de chemin de lecture en F ou Z?
Voilà un point sur lequel vous devez vraiment prendre le temps de réfléchir, de penser stratégiquement à la manière dont vos visiteurs « consomment » votre contenu et ainsi organiser les différents éléments qui composent votre page de manière à maximiser la lecture.

Voici un bon exemple: cette page de WebDAM présente un titre clair en haut à gauche, un questionnaire rapide d’inscription à droite, le contenu clé au milieu, et divers témoignages de confiance en bas.
On apprend beaucoup de ce genre d’exemple, prenez votre temps pour déterminer ce qui sera efficace pour votre page.

Mettre tout ça ensemble

La magie des landing pages est que malgré ces points en commun, il n’en existe pas 2 semblables!

Bref, les clés du succès pour développer votre business en 2016 et après sont vos visuels, appels à action, témoignages et mise en page, ne l’oubliez pas!

Votre webtv avec RZO TV

190: c’est le nombre moyen de vidéos que regarde un Français par mois. Saisissez cette opportunité pour votre  entreprise!
RZO.tv
RZO.tv
La vidéo est un moyen de communication qui prend de l’ampleur, grâce notamment  à la proportion grandissante d’utilisateurs équipés d’au moins un objet connecté pouvant les lire.
Aujourd’hui, Youtube est par exemple le 2ème moteur de recherche aux Etats-Unis, et le nombre de vidéos regardées par mois par personne ne fait qu’augmenter.

Quel est l’intérêt de la vidéo dans votre stratégie d’entreprise?

Ce média de communication a l’avantage d’être simple, attirant et bien sûr très visuel: vous captez l’attention de vos clients en leur offrant du contenu intéressant, qui touche aux 2 sens les plus importants dans l’apprentissage et la mémorisation, l’ouïe et la vision. C’est donc un moyen efficace pour marquer l’esprit de vos visiteurs et les engager.
En plus, en laissant le choix à l’utilisateur de regarder la vidéo qui lui plait, plusieurs types de contenus (tutoriels, interviews …), ainsi que les suggestions de vidéos adaptées, vous vous inscrivez dans une stratégie de personnalisation qui est aujourd’hui la clé pour proposer la bonne offre, au bon moment, à la bonne personne.

RZO office

RZO TV à Meylan s’est spécialisé dans la création de plateformes de diffusion vidéo pour les professionnels et offre des solutions en adéquation avec ces tendances. RZO propose notamment des services de diffusion live pour diffuser en direct vos événements, avec la possibilité d’interagir avec vos spectateurs en direct grâce à un chat, ainsi que de la VOD sans publicité (Video On Demand, à la demande) facilement intégrable à tous vos sites et réseaux sociaux, et plateforme de e-learning pour la formation.
Visitez les sites MaTVimmo ou encore celui de credit.fr pour vous faire une idée!

Ces services offrent l’avantage d’une communication cross-platform  et SEO friendly en permettant à vos vidéos d’être accessibles et lisibles depuis n’importe quel outil et navigateur, tout en étant toujours facile à intégrer et partager, et reposent sur une architecture solide permettant d’accueillir plus de 10 000 utilisateurs simultanément. 

Faites le pari de la vidéo pour votre entreprise!

Les logiciels libres

Logiciels libres, open-source, ça vous évoque quelque chose? On les a évoqués dans l’article sur Symfony il y a quelques jours, et aujourd’hui nous allons mettre tout ça au clair.
Open source software, easyclix.fr
Open source software, easyclix.fr
Projet GNU
Projet GNU

Commençons par… des définitions!
Les logiciels libres signifient que  les utilisateurs ont la liberté d’exécuter, copier, distribuer, étudier, modifier et améliorer ces logiciels. Comme le précise le site du projet gnu.org, qui a participé à formalisé ce concept,  le  » « logiciel libre » fait référence à la liberté, pas au prix(pour comprendre ce concept, vous devez penser à « liberté d’expression », pas à « entrée libre »). »
Il précise également qu’il y a 4 libertés fondamentales:

  • la liberté d’exécuter le programme comme vous voulez, pour n’importe quel usage (liberté 0) ;
  • la liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de le modifier pour qu’il effectue vos tâches informatiques comme vous le souhaitez (liberté 1) ; l’accès au code source est une condition nécessaire ;
  • la liberté de redistribuer des copies, donc d’aider votre voisin (liberté 2) ;
  • la liberté de distribuer aux autres des copies de vos versions modifiées (liberté 3) ; en faisant cela, vous donnez à toute la communauté une possibilité de profiter de vos changements ; l’accès au code source est une condition nécessaire.
Logo Open Source
Logo Open Source

Puisqu’on parle de code source, parlons de l’open source! Open source, source ouverte/accessible, signifie tout simplement que le code source du programme, autrement toutes les lignes de code qui le constituent, sont libre d’accès (ça ne veut pas dire gratuit attention).

En fait, ces 2 types de logiciels se matérialisent sous forme de licence d’exploitation, avec leur différentes caractéristiques. Ces licences ont donc des modalités variées, qui joueront sur la possibilité de modification, de distribution, et de droits d’auteurs par exemple, pour ne citer que quelques exemples.
Les valeurs qu’elles défendent sont également différentes: l’open source part plutôt d’une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source, tandis que le logiciel libre représente « un impératif éthique, l’indispensable respect de la liberté de l’utilisateur«  et a donc plus une vocation sociale.

Et dans la vraie vie alors? Qu’est-ce que ça fait? Est-ce que ce ne sont pas un peu des débats de geeks sans réelle importance pour les non-initiés?

Et bien dans la vraie vie, les logiciels libres ou open sources ont de nombreuses applications réelles. (les logiciels libres cités ci dessous seront en gras et les logiciels open source en italique. Vous pouvez cliquer sur les noms pour accéder aux sites de ces logiciels.)
Par exemple, pour écrire un article de blog tel que celui-ci, il vous faut un ordinateur par exemple, et donc un système d’exploitation. Oubliez Windows pour un moment, et essayez donc Ubuntu! Ensuite, il vous faut évidemment un navigateur internet, tel que Mozilla Firefox ou Chromium, la version libre de Google Chrome. Vous pouvez, pour créer et gérer votre blog, vous servir d’un CMS (Content Management System) comme par exemple WordPress, Joomla! ou Drupal, pour citer les plus connus.
D’ailleurs, peut-être que parmi vous certains ont une boutique e-commerce, avec Magento ou PrestaShop?
Pour installer votre blog, avec WordPress disons, vous avez télécharger l’archive .zip sur le site officiel, et la décompressez avec 7-Zip, puis l’installer sur votre serveur avec Filezilla.
Ca y est, votre blog est enfin créé! 🙂
Maintenant, passons au plus important, le contenu.
Pour commencer votre article vous pouvez d’abord le taper sur un document de traitement de texte fourni par LibreOffice ou OpenOffice. Si vous avez une âme d’artiste, vous pouvez l’illustrer  en manipulant et retouchant des images avec GIMP,  dessiner des images vectorielles avec Inkscape pour un rendu impeccable, voire carrément créer des objets en 3D avec Blender. Et oui quoi de mieux qu’une bonne illustration pour faire comprendre vos propos?
Et voilà! Votre article est prêt à être publié.
Vous avez bien travaillé, vous pouvez vous détendre en regardant un film sur votre ordinateur, ou un épisode de votre série préférée. Si vous n’êtes pas adeptes du streaming, rien de tel que le lecteur VLC, qui gère un très grand nombre de formats et sous-titres sans le moindre souci!
Retour au travail… Vous utilisez peut-être un gestionnaire de contenus d’entreprise (ECM)? Si oui, connaissez-vous Alfresco?
Bien sûr, je n’ai cité ici que ceux qui me semblaient être les plus connus ou utilisés, mais la liste est bien plus longue en réalité (voir ici sur Wikipédia)!

Voilà la force des logiciels libres et open source: il y en a pour tous les goûts et les usages. Énormément sont gratuits, et disposent généralement d’une communauté toujours disponible pour répondre à vos questions.

Si vous voulez plus d’informations, vous pouvez consulter le site de GNU notamment.

 

Framework, Symfony: on vous explique

Un framework d’abord, qu’est-ce que c’est? Et Symfony?
Logo du framework Symfony
Logo du framework Symfony

Chez Kreatys, nous nous servons du framework Symfony pour développer nos projets web. Voyons ensemble ce que cela signifie concrètement.

Commençons par le commencement: le framework.

Framework se traduirait de l’anglais par « cadre de travail« , et désigne « un ensemble cohérent de composants logiciels structurels, qui sert à créer les fondations ainsi que les grandes lignes de tout ou d’une partie d’un logiciel (architecture) » comme le dit si bien Wikipédia. Cet outil a pour but d’aider les développeurs en leur fournissant par exemple des normes de programmation, des outils développés par d’autres programmeurs, et leur permet ainsi de ne pas avoir à réinventer la roue à chaque projet!

Néanmoins, utiliser un framework ne garantit pas un bon code: c’est un outil, il n’y a aucune garantie que vous l’utiliserez correctement. Un peu comme si on vous donnait un stylo: c’est quand mieux que de le refabriquer soi-même à chaque fois, mais le simple fait d’avoir un stylo ne garantit pas que vous deviendrez Victor Hugo, vous restez responsable de l’usage que vous en faites. Comme ce grand homme l’a d’ailleurs dit, « tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité ».
Ensuite, tous les développeurs ne servent pas de framework: certains trouvent en effet le cadre trop contraignant, limitant l’apprentissage et l’innovation. Il est vrai que lorsqu’on a un cadre, on ne va pas forcément chercher à en sortir. J’ai un stylo, pourquoi m’embêter à essayer d’en réinventer un? C’est tout à fait compréhensible, mais si on se limitait  à cet encadrement cela risquerait de brider toute créativité de la part de nos codeurs et les langages de programmation n’évolueraient plus.
Bien évidemment, nous n’en sommes pas là du tout 😉

L'avis de Victor Hugo sur les frameworks
L’avis de Victor Hugo sur les frameworks

Donc voilà pour les frameworks. Et Symfony du coup?

D’après eux-mêmes , « Symfony est un ensemble de composants PHP, un framework pour application web, une philosophie, ainsi qu’une communauté — le tout fonctionnant en harmonie. ».

Donc vous l’aurez compris, Symfony est utilisé par les développeurs web qui codent en PHP. Et ça tombe bien, nous en avons 2 avec nous à Kreatys! Nous leur avons brièvement demandé leur avis sur la question:
– Olivier : « Symfony, c’est très structuré, très cadré, ce qui est pratique quand on travaille à plusieurs sur un même projet car on comprend plus facilement le code de chacun. »
– Rémi : « Avant je travaillais sous CakePHP, et justement d’un côté j’aimais bien la souplesse qu’il offrait. En plus je trouve que c’est plus abordable, tu peux rapidement arriver à sortir des pages pour ton site en étant débutant, alors que Symfony est plus long à prendre en main.  Par contre c’est vrai que Cake pouvait devenir vite une usine à gaz, et fallait vraiment mettre les mains dans le cambouis.»
– Olivier :  « Oui, alors que là avec Symfony et leur bundles, c’est assez clair et efficace. En plus ils sont libres*, donc on trouve pas mal de ressources, de données partagées par les autres développeurs. »

En conclusion, Symfony est pour nos développeurs un moyen efficace de travailler en équipe sans problème, et de part son appartenance aux logiciels libres il prône des valeurs de collaboration et de partage qui nous sont importantes.
*logiciel libre: désigne un programme sous une licence permettant son utilisation, sa modification et sa distribution par tout le monde. Par exemple, Firefox, Ubuntu, VLC, OpenOffice ou encore Gimp, sont tous des logiciels libres.